livrecafe
Une fois par mois, les gourmands lisent se réunissent pour échanger, avec passion, leurs avis de lectures.

Elles nous font part de leurs coups de cœur !

… et vous trouverez ces ouvrages à la médiathèque.

 

« Les déracinés » de Catherine Bardon : basé sur des faits réels, ce roman est à la fois plein d’espoir et de désespoir.  Nicole G.

«  Entre deux mondes » d’Olivier Norek : un policier vivant en Syrie envoie sa femme et sa fille en France afin de les mettre à l’abri. Elles l’attendront dans la jungle de Calais mais rien ne se passera comme prévu. Marie-Hélène M.

« Les gratitudes » de Delphine de Vigan : Roman tout en délicatesse sur le vieillissement et les liens humains . Marie M.

« La toile du paradis » d’Harada Maha : charmant et original roman sur le monde de la peinture et plus précisément sur la vie du Douanier Rousseau. Jany B.

« Salina » de Laurent Gaudé : les premières phrases m’ont saisie, scothchée. Je suis entrée dans quelque chose de terrifiant, de magnétique. J’ai adoré l’originalité de ce livre. Nadine C.

«  Berezina , en side-car avec Napoléon » de Sylvain Tesson : en 1812, Napoléon était en campagne guerrière en Russie. Par moments, nous sommes avec Napoléon en campagne, puis avec Sylvain Tesson en side-car. Sylvie P.

«  La papeterie Tsubaki » d’Ogawa Ito : une jeune fille reprend la papeterie que sa grand-mère lui a léguée ainsi que son métier d’écrivain public. Avec beaucoup de délicatesse, la jeune fille va redonner  un nouvel élan à la papeterie et à sa vie. Un roman apaisant Danièle C.

«  Trois filles d’Eve »  d’Elif Shafak : trois jeunes femmes étudiantes à Oxford. Le sujet porte sur l’évolution des femmes par le biais d’un professeur particulier qui veut les faire réfléchir en les poussant dans leurs retranchements. Anne-Marie R.

« Edmonde » de Dominique de Saint Pern : biographie d’Edmonde Charles-Roux , une intrépide dont le destin s’est forgé pendant les années de guerre 39-45. Fille d’une grande famille, destinée à devenir duchesse, elle s’engage dans les forces armées à 24 ans. Michèle G.

«  L’art de perdre » d’Alice Zeniter : une jeune française d’origine immigrée part à la recherche de ses origines algériennes. On y découvre des personnages attachants avec beaucoup d’amour malgré les non-dits de cette famille Marie-Jo C.

« Allah n’est pas obligé » d’Ahmadou Kourouma : l’enfant des rues Birahima raconte les horreurs qu’il a vécues en Afrique dans les années 80 en mêlant les langues de France et d’Afrique puisées dans ses dictionnaires. Christiane V.

«  Une sirène à Paris » de Mathieu Malzieu : un conte poétique qui se lit d’une traite. Nous partons avec le surprisier à la découverte de ce Paris noyé où l’amour triomphera. Tout est poésie, laissez-vous emporter, redevenez enfant. Les sirènes existent. Patricia A.

«  Six fourmis blanches » de Sandrine Collette : une histoire de randonneurs perdus dans une montagne inhospitalière. Racontée par l’auteure, c’est une lecture finalement rafraîchissante en ces temps de canicule tant on s’y croirait. Ingrid P.

« Une famille comme il faut » de Rosa Ventrella : ce roman m’a fait penser aux vieux films italiens avec Sophia Loren. L’ambiance des familles de l’Italie du Sud, les corruptions, les histoires d’amour ou de vengeance. Et surtout de très beaux portraits de femmes douces et fortes à la fois. Patricia S.